confidences nocturnes et chansons médiévales Le tierce jour débuta sous un ciel plus tolérant. Un timide soleil réchauffait les rues de Clairmont-sur-Mer, allongeant scintiller les flaques résiduelles de la veille. Après un réveil lumineux, Phil Voyance s’installa devant son bureau pour faire appel à les mieux signaux arrivés au seul matin. Il était encore tôt, mais son apport de voyance par sms fonctionnait en soutenu, et certaines personnes n’hésitaient pas à accoucher dès l’aube. Le originaire sms provenait d’Antoine, un professeur de sciences au lycée local. « Phil, je suspicion de mon retrouve pédagogique. Mes élèves paraissent démotivés. Est-ce moi qui suis extraordinairement soumettant, ou beaucoup distant ? Dois-je glisser de méthode ? » Phil tira la Force, l’Impératrice et la Justice. « Antoine, nous avons en vous la frénésie des mémoires ( Force ), mais l’Impératrice suggère de l'imagination et de la grâce. La Justice, elle, rappelle l’importance d’un accord. Essayez une vision plus interactive. Laissez vos élèves participer encore davantage, fournissez de quelques plans palpables. Vous trouverez l’harmonie en vous assemblant à bien leurs attentes. » Alors qu’il s’apprêtait à suivre son petit-déjeuner, le téléphone vibra de futuriste. Un appel laconique : « Je suis perdu, aidez-moi. » Il s’agissait de Marc, un quadragénaire en l'ensemble désastre identitaire. « Phil Voyance, ma féminité m’a quitté, mon gagne-pain se termine, je n’ai plus qualité en personnalité. Je ne sais pas par où recréer ma tenue. » Phil sentit un significatif désarroi. Il se concentra, piocha le Tarot, qui dévoila le Pendu, la Mort ( Arcane sans surnom ) et l’Étoile. « Marc, vous traversez un accident main. Le Pendu mobilisation à lâcher capture, la Mort annonce la délicat d’un sorte douloureux, mais l’Étoile représente l’espérance d’un renouveau. Prenez les siècles de digérer vos peines, puis fixez de nouveaux plans. C’est généralement alors que ils ont tout perdu qu’on est en propension de enfin tout reconstruire. » Après ce fait inespéré d'avoir répondu à bien ces messages, Phil passa un conversation téléphonique à bien Hubert Lavoine pour lui parler des informations recueillies similaire à Nadège. L’historien s’anima immédiatement : « Des chants nocturnes, dites-vous ? J’ai trouvé dans de vieux grimoires la mention de berceuses marines supposées chambrer la naturel d’entités féminines venues de l’océan. Peut-être une passerelle. Nous aurions la possibilité enquêter sur vie, un soir de totalité lune. » Intrigué, Phil promit de se négocier disponible. Il ignorait encore comment il allait se servir ces recherches avec les multiples réflexions journalierement de ses membres, mais l’idée de sourdre un miroir ancien l’enthousiasmait. La matinée laissa place à bien une après-midi apaisement, collectivement auquel Phil se dédia à bien neuf ou 10 déchiffrage sur le utopie régional. Il découvrit des allusions répétées à bien une « sirène d’Avalune », créature en capacité d’hypnotiser les marins par son chant. Certains prétendaient même qu’une confrérie mystérieuse perpétuait le sentiment de cette entité, à l’abri des regards. Le cœur de Phil battait plus substantiel. Était-ce pure titre, ou un fragment de véridicité ayant vraiment religieux les runes de la chapelle ? Vers seize heures, un futuriste appel attira son amabilité, vrai voyance par sms gratuite accostant d’Adélaïde, une quadragénaire en instance de divorce. « Cher Phil Voyance, je culpabilise de dérober ma foyers. Mon mari ne se remet pas évoquées et je ne l’aime plus depuis longtemps, mais il ne inclus pas. Suis-je égoïste ? » Phil ressentit la profondeur de sa culpabilité. Les carte bancaire révélèrent le Jugement, la Lune et l’Amoureux. « Adélaïde, le Jugement indique une action important, même si elle est douloureuse. La Lune marque vos peurs, vos doutes. Les Amoureux rappellent que l’amour ne se contrôle pas, et que vous avez le droit de sélectionner l’authenticité. Discutez sereinement avec votre mari, offrez un accompagnement si nécessaire, mais n’étouffez plus vos perçus. » Plus tard, au déviation d’une voie sur marcq-en-barœul, Phil croisa Nadège, tout aussi d'expérience que lui par ce qui se tramait à bien la chapelle. « Je suis accès reparler aux immémoriaux du quartier. L’un d’eux m’a confié un fragment de poème qu’on chantait dans les anciens temps pour solliciter la défense d’une entité marine. C’est déchirant, je te jure. » Elle lui montra un petit cahier où elle avait noté ces extralucides de paroles. On y lisait notamment : “Ô Muse des flots, épargne tous nos âmes, dans tes creux de la vague repose le silence, nous t’offrons l'ensemble de nos larmes”. Un frisson parcourut Phil. Il se sentit de plus en plus plongé dans cette atmosphère mi-légendaire, mi-réelle. En fin d’après-midi, donc qu’il s’asseyait dans un café pour transiger ces nouveaux indices, son téléphone vibra. Christophe, un jeunes hommes ayant sérieusement récemment mise en circulation sa micro-entreprise, lui écrivait : « Phil, je soupçon de ma légitimité. Je n’ai pas geste d’études renommées, je me sens inférieur bouille à mes confrères. Dois-je persévérer ? » Les cartes bleu, la Roue de Fortune et le fou, indiquaient une grande envie d’adaptation, mais encore l’inévitable nécessité de calmer ses complexes. Phil répondit : « Christophe, la constance dépend encore plus de votre audace que de vos diplômes. Le bateleur vous encourage à bien aiguillonner, à innover. La Roue de Fortune chemise un moment qui semble pouvoir se présenter si vous vivez vigilant au marché. Croyez en votre éventuel. » Tandis que le crépuscule s’installait, Phil rencontra Hubert et Nadège dans un petit caisse autour du port pour partager un dîner informel. Autour d’une soupe de poisson et d’un verre de vin allégé, ils évoquèrent leurs découvertes respectives. Hubert avait consulté d’autres archives citant de quelques processions secrètes dans la région, jadis effectuées par une “prêtresse des eaux”. Nadège avait recueilli un relation d’un marin attestant avoir sûr, quatre ou cinq nuits plus tôt, un chant lointain. « Je ne l’ai pas inventé, jurait-il. C’était en tant sur le plan qu' un ensemble d' informations. Un appel… du grand. » La conversation se prolongea tard dans la évènementiel, aussi bien l’excitation était palpable. Il fut conventionnel que, d’ici brin, ils se rendraient de nuit à la chapelle, en époque de marée bonne, afin de garantir s’il se passait de manière constructive des attributs. Phil se sentit à l'unisson intrigué et légèrement inquiet, tels que si la lisière entre la vie et la écrit s’amenuisait. Il ne put s’empêcher de admettre aux nombreux symboles de détresse qu’il recevait quotidiennes. Et si, dans cette étude, il découvrait la provenance d’un tristesse plus important, d’une phobie enfouie dans l’inconscient communautaire de la ville ? Avant de se coucher, Phil consulta une ultime fois ses notifications. Un sms d’Héloïse, une musicienne, le toucha. « Je dois naître une ouïe importante, Phil. Chaque fois que je monte sur scène, le appréhension me paralyse. Comment puis-je écraser ça ? » Il tira la carte de la Force et le Soleil. « Héloïse, le peur est économique, mais la Force chemise que vous rencontrez la possibilité de le canaliser. Le Soleil indique l’éclat de votre pouvoir si vous vous faites appel. Préparez-vous à fond et respirez furieusement évident de gagner. Votre ouverture pénétrante finira par rayonner. » Il éteignit finalement son téléphone, le cœur vibrant. Sous la lune électrostatique de Clairmont-sur-Mer, l’invisible continuait de se marquer pas à bien pas. La chapelle, les chants, les runes… Phil se sentait comme un funambule, avançant entre les confidences de ses clients et ce symbolique millénaire qu’il devinait marqué par la surface.